Psycho: écouter, déculpabiliser et motiver
5 scénarios pour un Noël sans stress
Noël est une fête conviviale, et je suis seul
« Retraitée, je vais passer les fêtes seule, sans mes enfants, qui sont loin. J’ai l’habitude de cette situation, mais c’est vrai qu’à Noël, elle me pèse. Je me sens nulle et abandonnée, et la tentation est grande de combler le vide par de la nourriture. » Josette, 68 ans.
Noël est par définition une fête qui rassemble, et pour ceux qui sont seuls, elle ravive leur sentiment d’isolement. Mais en France, un tiers de la population dit souffrir de solitude : Josette, vous n’êtes donc pas seule… à l’être.
Recréer du lien
Chaque commune compte de nombreuses associations, auxquelles on peut adhérer chaque année à la rentrée, et le plus souvent, dans le courant de l’année. C’est l’occasion de tisser des relations avec des riverains d’un même quartier, avec qui on partage des centres d’intérêts. La fête des voisins, chaque 1er juin, permet de faire plus ample connaissance avec les habitants de son immeuble, ou tout du moins, ceux qui souhaitent instaurer une sociabilité. Rompre la solitude, ça passe d’abord par faire la démarche d’aller vers les autres : au début on se force un peu, par manque d’habitude, puis ça devient tout naturel !
Mais la période de Noël est arrivée, que faire, tout de suite, pour combler ce fameux « vide » dont vous nous parlez ? Prenez contact avec un organisme d’aide aux plus démunis : Restos du cœur, Secours populaire, Petits frères des pauvres, associations locales… Toutes mènent des actions particulières pendant les fêtes de fin d’année, et cherchent des bénévoles. Donner un peu de soi et de son temps à ceux qui en ont le plus besoin, c’est non seulement généreux, mais encore le plus beau moyen qui soit de se sentir mieux.
Pour trouver une action à mener près de chez vous : www.francebenevolat.org
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